JEUNE AFRIQUE N° 2853 en kiosque le 13 septembre 2015: Akinwumi Adesina, Président de la BAD, cette semaine dans Jeune Afrique

Par Jeune Afrique - Akinwumi Adesina, Président de la BAD, cette semaine dans Jeune Afrique. Jeune Afrique JEUNE AFRIQUE N° 2853 en kiosque le 13 septembre 2015.

Akinwumi Adesina, Président de la BAD, cette semaine dans Jeune Afrique

JEUNE AFRIQUE N° 2853 en kiosque le 13 septembre 2015

• Interview : Akinwumi Adesina, Président de la Banque africaine de développement « Ma priorité, c’est d’allumer l’Afrique. Dans dix ans, la question énergétique sera réglée »

Quelques jours après avoir pris ses fonctions, Akinwumi Adesina se montre confiant et déterminé. Cet agroéconomiste est le premier nigérian à accéder à la présidence de Banque africaine de développement . Ancien ministre de l'agriculture dans son pays, il assure d'emblée « J’ai pris mes fonctions avec des idées très précises». Et il les décline : accès à l’électricité, modernisation de l’agriculture, soutien aux PME, etc... Face à Jeune Afrique, le patron de l’institution panafricaine fixe clairement ses objectifs. Entretien exclusif.

• Renseignement : Que valent (vraiment) nos services secrets ?

La menace terroriste a obligé les États africains à une brutale modernisation de leurs capacités d’espionnage, jadis calibrées pour parer la menace intérieure. De Bamako à Mombasa, de Yaoundé à N’Djamena, le choc de la terreur djihadiste a été brutal. Structures, réseaux, méthodes, formation, coopération, c’est tout leur système de surveillance extérieure que les pays subsahariens doivent bâtir en urgence. Pays par pays, Jeune Afrique dresse l'état des lieux et le portrait des principaux « maitres espions » du continent.

• Burkina : Roch Marc Christian Kaboré « Avoir travaillé avec Blaise n’est pas un handicap »

Longtemps, Roch Marc Christian Kaboré fût très proche de l’ancien président Compaoré, au point d’être considéré comme son dauphin. Aujourd’hui, le président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP), qui veut incarner le changement fait partie des deux favoris de la présidentielle burkinabé du 11 octobre prochain.

• Tunisie : Mohsen Marzouk « Réformer, c’est trancher »

Nouvel homme fort de Nidaa Tounes, Mohsen Marzouk est sans doute le politique le plus doué de sa génération.Pour le patron du parti présidentiel, il faut en finir avec les tergiversations et faire preuve d’audace et de détermination, notamment sur le plan économique. Entretien.

• Maroc : la surprise Benkirane

Vainqueur aux régionales, troisième aux communales, le Parti de la justice et du développement (PJD) d’Abdelilah Benkirane a déjoué la plupart des pronostics. Il serait en position de diriger neuf des dix plus grandes villes du royaume. Un raz-de-marée. Désormais, le PJD peut envisager avec confiance les législatives de 2016.

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