Dissolution de la FESCI et de la LIGES – Christian Vabé : « Le RPCI-AC dit Non et met sévèrement en garde le RDR et le Ministre Gnamien Konan »

Par IvoireBusiness - Importante déclaration à la Nation du RPCI-AC concernant la proposition du RDR et du Ministre Gnamien Konan de dissoudre la FESCI.

Christian Vabé président du RPCI-AC, et Najat Vallaud Belkacem, ministre de l'Education nationale de la République française.

Le Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire Alternative crédible (RPCI-AC) dit Non à la dissolution de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) et de la LIGES, proposée par le Ministre Gnamien Konan et la parti d’Alassane Ouattara, le Rassemblement des républicains (RDR).
Le RPCI-AC rappelle que ces syndicats estudiantins n’ont fait qu’user de leur droit syndical reconnu par la Constitution, pour revendiquer de meilleures conditions académiques. Ils sont donc dans la stricte légalité.
Le RPCI-AC met en garde le Ministre Gnamien Konan et le RDR contre les risques imprévisibles et le désordre que pourraient engendrer une telle décision sur le climat social.
Le RPCI-AC leur demande de retirer immédiatement leur proposition de dissolution et de plutôt s’atteler à régler les problèmes des étudiants qui sont d’ordre purement académiques, et au lieu de constamment les rouler dans la farine pour ensuite les arrêter et les mettre en prison.
Le RPCI-AC rappelle que le RDR n'a pas demandé la dissolution des FRCI l'armée du régime, après leur soulèvement militaire généralisé pour exiger leurs primes de guerre de 5 millions de FCFA chacun pour enlever le Président Laurent Gbagbo. Primes promises par le chef de l'Etat Alassane Ouattara.
Ce dernier s'est empressé de les recevoir pour les satisfaire et réconforter. Aucun d'entre eux n'a alors été arrêté. Alors que plusieurs étudiants sont en ce moment à la prison MACA après leur grève.
Le régime Ouattara préfère traiter les étudiants comme des terroristes et les FRCI et les milices avec tous les honneurs.
En Conséquence:

Le RPCI-AC exige la démission immédiate du Ministre Gnamien Konan pour incompétence et incapacité à apporter une solution aux problèmes des étudiants.
Le RPCI-AC exige la prise en compte immédiate de tous les problèmes académiques posés par les étudiants et la libération sans condition de tous les étudiants arrêtés.

Fait le 01 avril 2015
Pour le RPCI-AC
Christian Vabé

Président

AMPLIATIONS

PRESIDENT LAURENT GBAGBO ( COUR PENALE INTERNATIONALE LA HAYE)
FRANÇOIS HOLLANDE, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANCAISE (ELYSÉE)
BARACK OBAMA, PRESIDENT DES USA (MAISON BLANCHE)
VLADIMIR POUTINE, PRESIDENT DE LA FEDERATION DE RUSSIE
ALASSANE OUATTARA, PRESIDENT DE CÔTE D'IVOIRE
JACOB ZUMA, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SUD-AFRICAINE
CHARLES KONAN BANNY, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015
ESSY AMARA, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015
KOUADIO KONAN BERTIN, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015

CLAUDE BARTOLONE, PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE (PALAIS BOURBON)
MANUEL VALLS, PREMIER MINISTRE FRANCAIS (PRIMATURE)
DAVID CAMERON, PREMIER MINISTRE BRITANNIQUE (10 DOWNING STREET)
PRÉSIDENT MACKY SALL (SÉNÉGAL)
ANGELA MERKEL (CHANCELIÈRE ALLEMANDE)
PRÉSIDENT OBIANG N'GUEMA BASOGO (GUINÉE EQUATORIALE)
JOHN KERRY, US SECRETARY OF STATE
GEORGE OSBORNE, CHANCELLOR OF THE EXCHEQUER
YAYI BONI PRÉSIDENT DE L'UNION AFRICAINE
DLAMINI ZUMA, PRESIDENTE DE LA COMMISSION (UNION AFRICAINE)
JEAN CLAUDE JUNKER PRÉSIDENT DE LA COMMISSION UNION EUROPÉENNE
NAJAT VALLAUD BELKACEM, MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE
CHRISTOPHE CAMBADELIS PREMIER SECRETAIRE DU PS FRANÇAIS

STÉPHANE LE FOLL PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT (MINISTRE DE L'AGRICULTURE)
SÉGOLÈNE ROYAL, MINISTRE DE L'ECOLOGIE
PRÉSIDENT DE L'UNION EUROPÉENNE PARLEMENT DE STRASBOURG (DÉPUTES EUROPÉENS) STRASBOURG DÉPUTES FRANÇAIS (PALAIS BOURBON)
SÉNATEURS FRANÇAIS (PALAIS DU LUXEMBOURG)
CONGRES AMÉRICAIN (CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS ET SÉNATEURS AMÉRICAINS)
COMMONS GRANDE BRETAGNE (DÉPUTES ANGLAIS)
BUNDESTAG (German Federal Diet) PARLEMENT ALLEMAND
MICHEL KAFANDO, PRESIDENT DE LA TRANSITION BURKINA FASO