Crise sociopolitique de la côte d’ivoire

le monde entier « ONU » vient d’imposé à la tête de la Côte d’ivoire dans le feu et dans le sang, en commanditant des grossiers mensonges

le monde entier « ONU » vient d’imposé à la tête de la Côte d’ivoire dans le feu et dans le sang, en commanditant des grossiers mensonges

La conception absolutiste archaïque du pouvoir d’état de ALASSANE OUATTARA saute aux yeux
Chronique citoyenne
sur le légalisme démocratique, en laissant commettre de quantités d’actions interdites face au droit de l’homme, aux résolutions onusiennes, aux statuts juridiques des États, aux conventions de guerre. Tous violés à volontés…un absolutiste républicain. Un soutien ferme à un carriériste pathologique, sans précédant qui à et fait preuve de cynisme barbare, obscurantisme depuis le 24 Décembre 1999 dans l’arène politique ivoirienne et tout cela avec le sourire du renard libre dans le poulailler libre, le renard hallucinant dans le poulailler halluciné. C’est le pire des gaffes de l’histoire des démocraties et de l’humanité que le monde entier « ONU » à fait en côte d’ivoire lors de la validation des résultats de l’élection présidentielle. La règle édicter au sud coréen CHOI par le monde « ONU » était de faire tomber GBAGBO mort ou vif avec son régime au nom de la responsabilité de protéger et du devoir d’ingérence humanitaire, pour installer un pouvoir docile tailler sur leur mesure ». SAFROULAYE !!! ALASSANE OUATTARA s’est tromper de discipline il aurait créé une secte nébuleuse obscurantiste et criminelle avec succès et demeurer le gourou éternel de sa secte ténébreuse et criminel, sa conception archaïque du pouvoir d’état saute aux yeux. Le rôle de gourou sectaire lui ira comme un gant, serait t-il alors excessif de craindre que les mêmes causes produisant les mêmes effets que nous, nous trouvions demain « très proche » avec une dictature sanguinaire à la tête de notre pays surtout lorsqu’au sommet de la hiérarchie de l’état, le magistrat suprême n’est pas entouré par des grands commis de l’état, mais bien par des courtisant plus soucieux de leurs carrières que du bien public. Ainsi, avec une foule de citoyens « monarchistes dans l’âme et par culture atavique » il est impossible de bâtir une vrai république avec des citoyens peu ou pas conscients de la relation dialectique qui doit exister entre l’Etat et le citoyen…
Citoyens et citoyennes réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard
IL est exclu, d’ériger un Etat digne de ce nom , avec des citoyens peu ou pas au fait des droits et obligations qui sont les leurs, il est illusoire de vouloir installer un Etat de droit d’où inutilité de chercher à organiser des élections républicaines là où derrière une république de façade se cache un système monarchiste absolutiste de fait, un absolutisme délinquant en quelque sorte. Dans ce cas, s’il n’y a pas de contestation soutenue et de ligues cityennes majeurs dans la société commune, c’est une démocratie de façade qui s’installe – démocratie de façade parce qu’elle serait fragilisée à l’extrême par l’élément tribal, ethnique, régional, religieux et autres...-Démocratie de façades parce que la complaisance serait toujours présent lors du choix des gouvernants. –Démocratie de façade parce que la corruption à grande échelle « ou la me-gestion généralisée » serait toujours au rendez –vous dans les différents sphères de l’Etat dirigé par l’absolutisme délinquant. -Démocratie de façade parce que le pseudo –magistrat suprême lié à telle ou telle puissance extérieur auprès desquelles en contre partie du soutien effectif au promis il reçoit directive et mot d’ordre. -Démocratie de façade, car le combat pour le développement intégral de tout citoyen et de tout homme demeurerait un simple slogan absolutiste. -Démocratie de façade enfin parce que les libertés fondamentales et les droits élémentaires du citoyen et de toute personne humaine sont toujours loin d’être garantis dans les faits dans notre pays. Ainsi donc les forces rétrogrades qui gênent la marche de notre pays vers un Etat Républicain démocratique ont le même nom ignorance. L’ignorance des gouvernés est le principal allié du pouvoir absolu « absolutisme dictatorial ou tyrannique » autrement dit plus les citoyens sont humbles, comme c’est le cas en Côte d’Ivoire actuellement, plus leur comportement est absolutiste, car essentiellement préoccupé de leur gagne- pain, ces brave citoyens, ouvriers, artisans, boutiquiers, journalistes, pêcheurs, commerçants, transporteurs, dockers et autres ont toujours tendance à placer leurs destins politique et sociale entre les mains d’un individu qu’ils pensent capable de miracles « pluie de milliards de dettes que les ivoiriens payeront sur plusieurs générations » et de les impressionner « il à l’argent dê ». De par leur culture, ils vénèrent les héros, ils sont favorables à une hiérarchisation très strict en fonction du bien matériel ou de l’aura factice « culte du chef , Puissancy à magni dê, brave Tchê, Warifatchê et autre pour marquer la puissance factice et imaginaire du chef » Ils deviennent donc dociles à la violence et aux cérémonies du et devant le chef. Mais ne nous trompons pas, ces citoyens sont des responsables et laborieux contributeurs de notre société et n’ont rien d’une foule de voyous et de mendiants, leur revendication, il est vrai, sont terre-à-terre, que celles des hommes politiques et autres intellectuels, ils exigent par exemple des prix justes c’est à dire fixes pour les produits de première nécessité, tel que le pain, le riz, le lait et le savon et autres. Mais leurs désirs sont parfaitement clairs et n’on rien de déraisonnable. En revanche, il ne serait pas sérieux d’attendre d’eux des revendication claires et précises concernant par exemple une sélection rigoureuse de nos dirigeants et une sanction sans complaisance des gouvernants, une gestion orthodoxe des ressources naturelles étatiques, demande d’un comportement plus responsable vis-à-vis de l’occident soutien du magistrat suprême absolutiste et un respect plus strict des règles et principes démocratiques, etc.
Ceux-ci demeurent l’apanage des acteurs politiques qui démissionnent très souvent pour des raisons de ventre, devant l’absolutisme engraissé. « puissancy à magni dê, 3000 morts c’est rien çà ! Brave TCHÊ, et WARI Fatchê oblige » .C’est au terme d’une telle lecture de la situation de notre pays que tout s’éclaire d’une lumière éclatante. Les dérives absolutistes dictatoriales et monarchiques du premier Magistrat Suprême de notre pays s’expliquent en effet aisément l’ignorance en est la cause, ignorance nourrit par le culte de la personnalité « les griots d’hier ont changé subitement de maître et on dit fièrement sans honte n’aucune, ALASSANE OUATTARA c’est notre maître. Sans honte avons-nous dit Pour un juriste qui voulait un porte-feuil ministériel ». Le voilà le vrai problème de notre pays ! Et on continu de croire naïvement que là où il n’y à pas de Républicains, il est possible d’ériger une vrai République, et une Démocratie Vrai là où il n’y à pas de Vrais Démocrates ; à ce stade la question centrale est la suivante : comment faire en sorte que malgré ces énormes handicapes dû à un pouvoir absolutiste à nous imposer par le monde, notre pays puisse commence par sécréter dès maintenant de Vrais Républicains sociaux à même de s’imposer une vrai République soucieuse des règles et principes démocratiques chez nous dans notre pays? Quand bien même il ne serait peut-être pas possible de transformer par un coup de baguette magique des absolutistes délinquants en républicains sociaux. On pourrait néanmoins par un jeu parfaitement démocratique réduire nos absolutistes républicains au seul rôle de Fanfarons qu’ils sont parfaitement capable de remplir comme des ballons de basket « BÄ BÄ BÄ ». Sans trahir autant leur citoyenneté acquise. Ce partage des rôles est autant plus important que nos absolutistes délinquants se disant républicains s’ignorent et ignorent du même coup que leur comportement avalisé par les puissances Extérieur cause d’énormes torts à notre république. Ces absolutistes délinquants qui se disent républicains perçoivent le pouvoir d’Etat comme une chance de se remplir les poches, une sinécure voire une bénédiction divine, une suprématie humaine pour celui qui accède au pouvoir d’état même en marchant sur les corps de 3000 citoyens. Face à la démission totale du détenteur ultime du pouvoir d’état, dans une criante renonciation primaire à ses droits fondamentaux. Nos gouvernants absolutistes républicains même arriver au pouvoir au terme d’un déni de démocratie et d’élections libres, s’empressent une fois au commande avec l’appui des puissances Extérieur d’oublier que le pouvoir ainsi mal acquit est d’abord et avant tout une lourde charge, un service à rendre, servir et non se servir. Ils y trouvent là un postulat pour en faire un formidable instrument de puissance personnelle, clanique et de, dénomination régionale ethnique et d’exploitation des ressources étatiques visant l’enrichissement personnel et clanique.
Conception absolutiste du pouvoir d’état
A partir d’une telle conception du pouvoir d’état par les gouvernants de notre pays. Il ne peut être possible de construire dans notre pays un état digne de ce nom. Un état qui soit perçu par les uns et les autres comme un patrimoine commun sans différenciation aucune « régionale communautaire, ethnique » à la place de cet Etat, recherché, ce sont des absolutistes délinquants se disant républicains qui se sont installés dont les pratiques portent en elles même les germes des coups d’ Etat, des rébellions, des sécessions, des guerres civiles et de la désobéissance civile etc. ...Avec cette conception erronée du pouvoir d’Etat on a beau être républicain social jusqu’au cou, on a beau être démocrate jusqu’à la moelle des os, les chances de le demeurer à toute épreuve deviennent minimes. Si rien n’est fait pour remplacer cette incongruité par une vision tout à fait nouvelle, parce que républicain social et démocrate dans l’âme, n’oublions pas notre pays roule tout droit dans le mûr. « Le FPI n’est plus un parti politique ivoirien, mais le parti de l’ennemi GBAGBO, les dirigeants du FPI ne sont plus des leaders politiques ivoiriens mais des pro- GBAGBO l’ennemi, la jeunesse FPI ne fait plus parti de la jeunesse ivoirienne l’avenir de demain, mais la jeunesse pro-GBAGBO l’ennemi. Il n’y a plus de débats et de combats démocratique mais la guerre avec les ennemis partisans de GBAGBO l’ennemi, la loi des armes pour gouverné le peuple souverain et la violence extrême des bornés armés pour la cause. Il ya incontestablement péril et le feu à la maison ivoire » c’est pourquoi, si nous voulons construire un Etat souverain et une nation une et indivisible à la fois moderne et ouvert aux impératifs de l’unité nationale, si nous tenons à bâtir une véritable démocratie participative en lieu et place de cette démocratie de façade guider par les armes, si nous voulons empêcher la reproduction de la sauvagerie politique lors de la présidentielle de 2010 et jeter ainsi les bases d’une véritable république , si notre souci de tous les jours est de supprimer les causes des coups d’Etat , sécession Nord – Sud , rébellions armées, guerres civiles à répétitions, désobéissance civiles et autres ... bref sinon tenons à organiser des élections réellement démocratique fondatrices d’un ordre nouveau dans notre pays , nous devons commencer par nous lever dès maintenant et prendre un certain nombre de mesure , qui ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’Etat par une vision tout à fait nouvelle qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie de la paix sociale pérenne et de la stabilité politique dans la reconnaissance absolu de tous. « La sphère politique, l’espace public encore moins le pourvoir d’Etat ne sont pas des plantations du Père d’une meute de ballons de Basket, « BLÄ BLÄ BLÄ ».
Avoir le courage de réclamer et revendiquer ce qu’est de droit
Les mesures salvatrices 1-) quand certains principes fondamentaux du droit international humanitaire sont violés le voile étatique soit percé faute de quoi les véritables auteurs des ses crimes sont assurés de l’impunité.
2-) Que les actions politiques qui gardent les hommes politiques inférieurs et l’autre supérieur soit complètement et pour toujours discréditées et abandonnées, 3-) que toute politique qui crée des citoyens et des sous-citoyens dans notre pays la Côte d’Ivoires soit bannie. 4-) que la couleur politique de quelqu’un n’est plus de signification que la couleur de ses idées novatrices. 5-) Que les droits humains basiques soient garantie d’une manière égale pour tous, sans attacher d’importance à la couleur politique et à l’idéal sociétale défendu, sans différenciation aucune « ethnique, tribale, communautaire, régionale, « nord-sud et est-ouest etc.. » 6-) Que ces valeurs deviennent une réalité incontournable dans notre pays la Côte d’Ivoire, sinon les rêves d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il y a point de développement, d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et d’une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par notre père FELIX HOUPHOUET BOIGNY, hélas la paix et la stabilité demeureront une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays, 7-) Que les citoyens ont le courage de parler comme les citoyens libres et égaux en droit civil et politique de nos dirigeant ivoirien, dirigeants, qui doivent accepter par conséquent la contradiction d’idées, et la confrontation des arguments autour de la chose public et l’opposition philosophique et idéologique, tant qu’il n’en sera pas ainsi dans notre pays ,la Côte d’Ivoire ne connaîtra jamais la paix sociale pérenne comme sous le père FELIX HOUPHOUET BOIGNY. 8-) Que la pluralité des conceptions politiques et sociétales et les positions idéologiques morales soient une réalité manifeste et soient considérer comme un enrichissement, au cas contraire les guerres civiles continuerons à peuplé le présent et l’histoire de notre pays la Côte d’Ivoire, 9-) Que la tolérance et le respect des différences ethniques, communautaires, tribales, et régionales « sans ouest-est et nord-sud » d’autrui soient accepter par tous comme règle de la vie en commun et baliser par des normes de régulations sociales acceptées par tous, nous éviteront les millions de morts à l’avenir. 10-) Que la politique ivoirienne ait pour substrat le respect des règles démocratiques et du droit universel, pour permettre d’obvier d’autres crises et crimes plus graves dans l’avenir. 11-) Que les partis politiques ivoiriens soient des outils citoyens d’intelligences collectives, pour transformer l’expérience concrète de chacun en une stratégie nationale commune d’ensemble et que cette stratégie nationale commune d’ensemble pour l’avenir reste permanente, enracinée, irriguée, revitalisée, inspirée par la réalité concrète du vivre en commun, le tout évoluant dans un immense espace national policé dans lequel espace national policé se reconnaissent et se battent démocratiquement à la loyal ceux qui n’envisagent pas le débat et le combat démocratique sous la forme d’une guerre civile opposant deux armés rivales et ennemis jurée. 12-) que si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports qui sont des hommes politique absolutistes qui se nourrissent de l’obscurantisme et le fondement de cette démocratie doit impérativement être le droit dans toute sa rigueur, dans toutes sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources d’harmonies sociales. Voici la solution pour la côte d’ivoire de FELIX FOUPHOUET BOIGNY. Pour un pays comme le notre actuellement dans des conflits de toute sorte ; le simple fait d’amorcer, d’engager, et d’annoncer l’application de ces mesures salvatrices, lui conférerait à nouveau le statut de véritable puissance économique de la sous-région « que le dispute aujourd’hui des petits pays bien gouvernés et réellement démocratique au vrai sens du mot » mettant du même coup un terme à une guerre qui n’a pu se concevoir et se faire que dans la seule hypothèse ou notre pays est devenu l’ombre de lui-même par la faute d’un carriériste pathologique primaire, cynique, et obscurantiste. Par conséquent tous les citoyens se doivent avant de voter un quelconque leader politique de voir les liens de rattachements ataviques historiques de ce leader avec la nation qu’il prétend vouloir gouverner. Le lien social étant politique, les liens de rattachement atavique historique multiséculaire lie les mains des dirigeants face au peuple qu’il ne peut martyriser à cause du pouvoir d’état qui par essence appartient à ce peuple. Alors ivoiriens et ivoiriennes réveillons nous avant qu’il ne soit trop tard.

DACANDY LEPETITFILS leader de la légitimité citoyenne « en exil forcé »