Urgent: Bedié accepte l’Appel du 12 avril et la main tendue du FPI au sursaut national contre la dictature Ouattara

Par IvoireBusiness - Bedié parle aux ivoiriens.

Henri Konan Bedié, président du Pdci accepte l’Appel du 12 avril du RPCI-AC et celui du FPI, et appelle tous les ivoiriens à tout faire pour le succès du Pdci aux élections du 21 avril prochain (NOUVEAU REVEIL 18/04)

Selon Bedié, les ivoiriens savent qu’ils peuvent compter sur lui et le Pdci-Rda, car son parti a toujours été là quand les ivoiriens ont eu besoin de lui.
L’Appel de ce jour du Président Bedié intervient après celui de Christian Vabé, président du Rpci-Ac le 12 avril dernier sonnant l’heure du grand sursaut national contre la dictature Ouattara, et demandant au peuple ivoirien et aux partis politiques de se soulever comme un seul homme et de se rassembler contre la dictature Ouattara, avant qu’il ne soit trop tard.
Miaka Ouretto, président du FPI, après avoir accepté l’Appel de Christian Vabé, a à son tour lancé un Appel au Pdci-Rda d’Henri Konan Bédié lui disant: « Le moment du grand sursaut national est venu. Resserrons nos rangs pour faire barrage aux prédateurs. Rassemblons-nous, pour défendre la Nation en péril. Nous n’avons que cette Patrie, alors défendons-là ensemble, au risque de disparaître tous ensemble, quand l’on nous demande de vivre ensemble chez nous, sans nous ».
Hier dans le Nouveau Réveil, le journal du Pdci-Rda, le ministre Dogbo Raphaël du FPI-LMP, appelait son parti à voter pour le Pdci, car le 21 avril prochain, la nation doit se réveiller aux côtés du parti d’Houphouët Boigny, pour faire barrage à la dictature Ouattara.
Aujourd’hui, le RDR a accusé son ancien allié du Pdci-Rda d’Henri Konan Bédié, de trahison et d’avoir un plan B avec le FPI et tous les partis LMP, pour la présidentielle de 2015.
Comme on le voit, les jours de la dictature Ouattara semblent dès à présent comptés avec la mise sur pied de ce sursaut national du peuple ivoirien, des syndicats, des élèves, et des partis politiques pour sauver la Côte d’Ivoire aujourd'hui divisée, dénaturée, bradée, et sous la coupe des seigneurs de guerre comme Amadé Ourem, "président de la République" du Mont Peko, à l'Ouest.

Patrice Lecomte