TRIBUNE/OPINION: SCOOP- COUR PÉNALE INTERNATIONALE

Le 25 janvier 2013 par Correspondance particulière - Et si le Président Laurent Gbagbo n’était plus à La Haye?

Et si le Président Laurent Gbagbo n’était plus à La Haye? Et si la CPI jouait le jeu de maintenir le Président Gbagbo à La Haye pour permettre au « candidat de l’étranger » de faire au moins un mandat forcé?

Rien n’est à écarter. S’autoproclamant l’homme le plus intelligent de la planète (voir Sarkozy qui déclare que l’Africain n’a rien apporté à l’histoire), le caucasien refuse de façon maladive de se remettre en question face aux autres races et très particulièrement face au noir. Qu’il ait fait une fausse politique contre le noir, l’homme de la neige refuse toujours d’admettre ses fautes et ses erreurs. A titre d’exemple, nous avons assisté dans les années 1990s à l’organisation des « conférences nationales » pour développer l’Afrique. Le résultat ? L’Afrique a reculé de centaines d’années avec des guerres dites civiles imposées et financées ouvertement par les Occidentaux. La « reculoncratie* » a aussi gagné du terrain en Afrique avec la complicité de l’Occident.
Malgré les preuves qui montrent du doigt Dramane Ouattara comme étant le cancer qui ronge la Côte d’Ivoire depuis que ce dernier a mis pied sur le sol éburnéen, la CPI (Cour Politique Internationale) refuse de libérer le président choisi par ses pairs (Gbagbo). Nos contacts, avec détermination, nous parlent désormais d’un second transfèrement du Président Laurent Gbagbo. Le lieu de ce second déplacement : la Belgique. Ce mini et pays sous-développé d’Europe qui se croit être le nombril du droit international (si droit il y a). Selon nos contacts toujours, la sortie de la juge Silvia Fernandez de Gumendi qui refuse de libérer le Président Gbagbo provisoirement sait très bien que le chef Ivoirien n’est plus dans les locaux du camp de concentration pour noirs aux Pays-Bas. Ils soutiennent que l’absence du Président lors de « ses dernières » comparutions ponctuées de plusieurs « huis-clos » sont la marque de son absence dans cette ville dont les caisses se remplissent à chacune des mobilisations des Africains qui s’y rendent pour crier leur indignation devant la grosse injustice que l’Occident inflige à l’Afrique entière à travers l’embastillement du Président Gbagbo. Ivoiriens et Africains, ouvrez donc les yeux et les oreilles. Des que possible, nous vous donnerons la suite de cette histoire et les précisions claires et nettes pour la suite du combat pour notre indépendance réelle.
Enfin, comme l’Occident ne reconnaît jamais son tort, son erreur et sa bêtise devant le noir, Dramane Ouattara a carte blanche de tuer qui il veut sur le sol qui l’a accueilli a bras ouverts au vu et au su de ses amis de l’intérieur (Kablan Duncan, Bédié Konan, Soro, Kassaraté, Mangou...) et de ses chefs occidentaux.

Une contribution de Sylvain De Bogou

Reculoncratie* : Ce néologisme désigne la situation ou le fils prend le pouvoir suite au décès de son père. Et, malheureusement cette situation est dite « démocratique » par les Occidentaux. Nous avons les cas du Togo et Congo où les fils ont pris le pouvoir pour la continuité.