ECRIRE ET TELEPHONER A LA CPI par Bernard Desgagné

Concernant le transfert appréhendé de Laurent Gbagbo, je vous invite à écrire ou à téléphoner à Mme Florence Olara, qui est la porte-parole de M. Luis Moreno

Audience de comparution de Gbagbo à la CPI.

Concernant le transfert appréhendé de Laurent Gbagbo, je vous invite à écrire ou à téléphoner à Mme Florence Olara, qui est la porte-parole de M. Luis Moreno

Ocampo, à la Cour pénale internationale (CPI). M. Gbagbo est détenu illégalement à Korhogo, dans le Nord de la Côte d'Ivoire, depuis plus de sept mois, et la rumeur veut qu'il soit transféré à La Haye pour répondre devant la CPI de crimes imaginaires. Le comportement de M. Ocampo est tout simplement immoral, surtout quand il s'entretient en catimini avec le criminel Ouattara, qui est responsable des crimes ayant ensanglanté la Côte d'Ivoire depuis 2002. Exigeons ce qui suit de M. Ocampo:

1) Que M. Ocampo cesse immédiatement toute enquête sur Laurent Gbagbo, qui n'est manifestement coupable d'aucun crime contre l'humanité, qui a été investi président par le Conseil constitutionnel de la Côte d'Ivoire et qui a simplement réclamé qu'on recompte les votes, après le second tour de l'élection présidentielle, tandis que M. Ouattara appelait à la guerre.

2) Que M. Ocampo utilise les innombrables preuves contre M. Ouattara et ses rebelles pour les faire arrêter et les traduire immédiatement devant la CPI.

3) Que M. Ocampo exhorte les autorités ivoiriennes à libérer immédiatement Laurent Gbagbo et à restaurer l'ordre constitutionnel et l'ordre public, ce qui signifie que Laurent Gbagbo doit reprendre son poste de président et que l'ONU et la France doivent quitter le territoire ivoirien, où elles ont semé la mort et la destruction depuis qu'elles y sont, au lieu de «protéger les civils» comme elles ont prétendu le faire.

4) Qu'à défaut de pouvoir répondre aux demandes 1 à 3 ci-dessus, sous peine de déplaire à ses patrons Obama et Sarkozy, M. Ocampo démissionne immédiatement de son poste de procureur, sous peine de continuer de s'enliser dans l'immoralité la plus totale.

Vous pouvez ajouter aussi que le peuple n'oubliera pas les noms des complices des criminels qui persécutent plusieurs peuples sur terre et qui sont la cause des grands dangers menaçant l'humanité tout entière actuellement. Tôt ou tard, criminels et complices devront répondre de leurs actes. Ils ne pourront pas toujours se sauver. On ne pourra jamais transformer des mensonges en vérité, même en les répétant sans cesse.

Voici les coordonnées de Mme Olara. Si vous choisissez de lui téléphoner et qu'elle ne répond pas, vous pouvez laisser un message dans sa boite vocale.

Florence Olara
Bureau du procureur
Cour pénale internationale
florence.olara@icc-cpi.int
+31 70 515 8723