Affaire Hollande-Gayet-Trierweiler : 3 millions d'euros de dégâts à l'Elysée ? Le démenti officiel

Par economiematin.fr - Les 3 millions d'euros de dégâts à l'Elysée démentis.

Photo : La scène de ménage de Valérie Trierweiler aurait coûté 3 millions d'euros à l'Elysée... A moins que ce ne soit le contribuable qui ne paye. cc/flickr/Institut français du Proche-Orient.

MISE à JOUR : La rumeur concernant le vandalisme du bureau de Président de la République par Mme Trierweiler a été démentie par le Mobilier National selon le Figaro qui a interrogé l'établissement public à ce sujet.
Le cliché de la scène de ménage ! Alors que Valérie Trierweiler se remet de ses émotions au pavillon de la Lanterne, dans le parc du château de Versailles, après une semaine de repos à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, une folle rumeur court sur le Net et revient sur la rixe qui aurait opposé François Hollande et son ex-compagne, quand celle-ci a appris la liaison du chef de l'Etat avec Julie Gayet.

Les couloirs semblent résonner dans le palais de l'Elysée. Une rumeur court depuis ce mardi sur Internet, et revient sur la scène de ménage qui aurait eu lieu entre le président de la République, et la journaliste Valérie Trierweiler. Une dispute qui ne se serait pas déroulée sans casse. Ainsi, le site lecolonel.net relate donc, à partir d'un témoignage, anonyme, évidemment, la dispute entre les deux membres du couple présidentiel.
Valérie Trierweiler, dans une colère folle, aurait saccagé le bureau présidentiel
D'après ce site, qui rapporte les propos "d'un haut fonctionnaire du Mobilier National, condisciple d'un ami", le Mobilier National aurait été appelé en urgence dans la matinée du vendredi 10 janvier dernier, afin de procéder à quelques aménagements de la déco présidentielle, qui aurait subi des dégradations. Des dégradations, qui selon le fonctionnaire dont lecolonel.net rapporte les propos, auraient été causées par Valérie Trierweiler, qui, emportée dans une colère folle en apprenant la liaison de François Hollande avec l'actrice Julie Gayet - on peut la comprendre - aurait fait voler en éclats quelques vases de la manufacture de Sèvres, des pendules précieuses, ainsi que quelques "objets d'arts de très grande valeur artistique et historique".
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Des dégâts estimés à trois millions d'euros
L'ex-concubine du président aurait même cherché à se jeter sur le chef de l'Etat, avant d'être écartée par le service de sécurité, et aurait terminé sa crise de nerfs dans le Boudoir d'Argent, la pièce adjacente au bureau présidentiel, où elle aurait continué "son oeuvre destructrice". L'Elysée n'étant pas équipé de meubles à monter soi-même, achetés chez Ikea, et ne faisant pas appel à Valérie Damidot pour changer la décoration, le Mobilier National aurait estimé le coût des dégâts à trois millions d'euros, meubles précieux et oeuvres d'art obligent...

Et le site Internet lecolonel.net de se poser la question : qui paie ? Il y a fort à parier qu'une telle rumeur ne sera sans doute jamais confirmée, et reléguée au rang des secrets de l'Histoire.

Par Jean-Baptiste Le Roux

Trierweiler : le Mobilier national dément tout vandalisme du bureau présidentiel (LE FIGARO)

NFO LE FIGARO - La rumeur selon laquelle la compagne du Président de la République a vandalisé le bureau de François Hollande est «infondée» selon l'établissement public.
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Après deux jours de folle rumeur, le Mobilier national sort de sa réserve et «dément catégoriquement» au Figaro que le bureau de François Hollande à l'Élysée ait été vandalisé par Valérie Trierweiler. La rumeur s'est propagée très rapidement, dès lundi 20 janvier, à partir d'une lettre anonyme publiée sur le Web. Selon l'auteur, une scène de ménage aurait opposé «Valérie T. à François H.» le 10 janvier, dans le bureau présidentiel et le boudoir d'argent. Par fureur, la première dame se serait livrée à du vandalisme, projetant à terre vases, pendules et objets d'art appartenant aux prestigieuses collections du Mobilier national. Coût de cette supposée scène: 3 millions d'euros.

Jusque-là, l'Élysée a opposé un silence prudent, estimant que la présidence n'avait pas à commenter ce type de rumeur. Selon nos informations, l'entourage du président pourrait s'exprimer à son tour dans les prochaines heures.

Par Claire Bommelaer