LAURENT GBAGBO A LA CPI

N0us autres c'est avec passion que nous avons étudié le droit à l'Université d'Abidjan, donc ce n'est pas trop le fait que la CPI juge un homme qui est,pour nous, en caue mais c'est la compétence de cette juridiction à être opposable à l'Etat de Côte d'Ivoire et partant au citoyens ivoiriens qui dépasse tout raisonnement civilisationnel.En effet, tout le monde sait que notre pays, la Côte d'Ivoire, n'est pas partie au statut de Rôme qui crée cette cour et celà a tout son sens au plan juridique.C'est de cela qu'il est en question, mon chèr ami et non ce piteux racourci qui caractérise votre écrit.C'est donc sur le terrain du droit qu'il faut axer la reflexion car la pérenité de la société humaine, depuis les société dites primitives jusqu'à nos jours,c'est fondamentalement endosséé aux règles sociétales que des peuples se donnent librement.Loin de moi l'idée que ces règles sont parfaites mais dès l'instant où elles rencontrent l'assentiment de la mojorité des citoyens de la société considérée elles deviennent opposable jusqu'à ce qu'un jour une autre majorité s'en dégage pour les changer dans le cadre institutionnel. Mais si parce que on est lésé par une règle sociétal on doit prendre des armes pour impose sonpoint de vue,l'humanité ce serait autodétruite.
C'était Zioyi