Débats et Opinions – Le Pont N’zueba déjà inondé: le Pont Henri Konan Bedié construit sur une nappe phréatique ?

""Quel est donc le problème du troisième pont? À chaque petite pluie, l'échangeur et les voies d'accès (entre l’échangeur et le grand marché de Marcory) sont totalement inondés.
Le problème est très simple. Cette zone renferme une nappe phréatique pas trop profonde et qui affleure par endroit (il parait même que c'est une zone issu d'un remblayage de la lagune). Le projet a accentué cette situation. Par endroit, les ouvrages ont été réalisés en déblais et les fondations de ces ouvrages constituent des barrages souterrains qui contribuent à élever le niveau de la nappe.
La conséquence immédiate, c'est que cette nappe remonte et inonde les voies. À la différence de l'eau de ruissellement pluviale, vous constatez sur les images que cette eau qui submerge les voies est claire, ce qui indique un phénomène de remontée de nappe phréatique.

Ma dernière question est la suivante: la multinationale Bouygues-constructions qui a doublé le coût initial de construction du pont "Nzuébah (plus de trois cent milliards); n'a-t-elle pas vu cette contrainte afin d'en tenir compte?
Ils ont bien procédé à des rabattements de nappe pendant la construction. Pourquoi n'ont ils pas utilisés ces solutions technique s (qui foisonnent) pour assurer un drainage permanent de cette zone?
Voici la réponse d'un internaute: "La posture d'esclave de ce pouvoir vis-à-vis de l'occident fait que nos cocontractants occidentaux ne se donnent pas la peine de remplir leurs obligations contractuelles, en exécutant les travaux prévus avec les matériaux de qualité... "Et les solutions techniques adéquates et " ""pauvre de nous!"""

Une contribution de Shlomit Abel