Urgent – Importante offensive diplomatique et politique: Le Rpci-Ac exige la libération de Laurent Gbagbo et la tenue d’un sommet Gbagbo-Ouattara sous l’égide de l’UA

Par IVOIREBUSINESS – Le Rpci-Ac exige la libération immédiate de Gbagbo et la tenue d’un Gbagbo-Ouattara en Afrique du Sud.

Photo: De gauche à droie. Christian Vabé, président du Rpci-Ac, Claude Bartolone Président de l'Assemblée nationale française, et Jean Marc Ayrault, Premier ministre français, au centenaire de la venue de Jaurès au Pré Saint Gervais, en région parisienne.

Affaire Laurent Gbagbo contre le procureur - Communiqué du rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire Alternative crédible (Rpci-Ac) relatif à l’audience de la chambre d’Appel de la CPI du 29 octobre 2013.

Le Rpci-Ac a pris connaissance le mardi 29 octobre 2013 dernier, du refus de la Chambre d’appel de la Cour Pénale internationale, d’accepter l’appel interjeté par la Défense du Président Laurent Gbagbo concernant la décision du 11 juillet 2013 de la Chambre préliminaire I, et portant sur le troisième examen de la mise en liberté provisoire du Président Laurent Gbagbo, en vertu de l’article 60 (3) du Statut de Rome.
La Chambre d’Appel, bien que fortement divisée, a pris la très lourde décision de ne pas accorder la liberté provisoire au Président Laurent Gbagbo, alors que tout le peuple de Côte d’Ivoire et l’Afrique toute entière étaient en attente de cette liberté, pour donner une chance à la paix et à la réconciliation nationale en Côte d’Ivoire.
Cette décision inattendue, a brisé la Chambre d'Appel en DEUX, car deux juges sur les cinq que compte cette dernière, se sont désolidarisés de leurs collègues en émettant l’un, un avis contraire, et l’autre, en entrant en dissidence avec tout ou une partie de la décision prise par la Chambre d’Appel.

Avant cette dernière, la Chambre préliminaire I avait déjà étalé ses désaccords publiquement, sur la liberté à accorder ou non au Président Laurent Gbagbo. En effet, la juge principale Sylvia Fernandez de Gurmendi était entrée en dissidence contre ses deux autres collègues, à propos du maintien en détention de Laurent Gbagbo.

Le Rpci-Ac remarque donc que la CPI dans son ensemble est profondément divisée sur le cas Laurent Gbagbo.
Pour le Rpci-Ac, la raison est toute simple: Il n’y a aucune preuve contre Laurent Gbagbo. Les différentes audiences successives de l’Affaire Gbagbo contre le Procureur ont suffisamment permis au monde entier de s’en rendre compte. Audiences diffusées en direct par la CPI et reprises sur plusieurs chaînes de télévision à travers le monde. La CPI n’a plus le choix et n’a pas le droit de tergiverser : « ELLE DOIT PUREMENT ET SIMPLEMENT LIBERER LAURENT GBAGBO CAR IL EST INNOCENT». Il y va de sa crédibilité en tant que Cour de justice internationale.
Il n’est pas encore tard pour que la CPI LE LIBERE.
En effet, la Chambre préliminaire I doit rendre sa décision au plus tard le 11 novembre 2013, après avoir tenu une audience dite DE VERDICT le 9 octobre dernier, dans l’Affaire Gbagbo contre le procureur.
Le Rpci-Ac estime que la CPI doit saisir sa chance et LIBERER PUREMENT ET SIMPLEMENT LE PRESIDENT LAURENT GBAGBO, car il est INNOCENT.
Le Rpci-Ac propose, une fois libéré, que le Président Laurent Gbagbo s’implique activement dans la recherche de la Paix et de la réconciliation en Côte d’Ivoire.
Il propose donc la tenue d’un sommet Gbagbo-Ouattara portant sur la PAIX ET LA RECONCILIATION NATIONALE en Côte d’Ivoire, afin de solder une fois pour toute, le Contentieux électoral de la Présidentielle de 2010.
Ce sommet, s’il a lieu, pourrait se tenir en Afrique du Sud, en Ouganda, ou en Ethiopie, et pourrait être placé sous l’égide de L’Union africaine.

Fait à Paris le 30 octobre 2013
Pour le Rpci-Ac
Christian Vabé
Président

AMPLIATIONS
Ampliations :
FRANÇOIS HOLLANDE, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE (ELYSÉE)
VLADIMIR POUTINE, PRESIDENT DE LA FEDERATION DE RUSSIE
BARACK OBAMA, PRESIDENT DES USA (MAISON BLANCHE)
JACOB ZUMA, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SUD-AFRICAINE
CLAUDE BARTOLONE, PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE (PALAIS BOURBON)
JEAN MARC AYRAULT, PREMIER MNISTRE FRANCAIS (PRIMATURE)
DAVID CAMEROON, PREMIER MINISTRE BRITANNIQUE (10 DOWNING STREET)
PRÉSIDENT MACKY SALL (SÉNÉGAL)
ANGELA MERKEL (CHANCELIÈRE ALLEMANDE)
PRÉSIDENT OBIANG N'GUEMA BASOGO (GUINÉE EQUATORIALE)
JOHN KERRY, US SECRETARY OF STATE
GEORGE OSBORNE, CHANCELLOR OF THE EXCHEQUER
PRÉSIDENT DE L'UNION AFRICAINE, HAÏLE MARIAM DESALEIN
COUR PÉNALE INTERNATIONALE (LA HAYE)
DLAMINI ZUMA, PRESIDENTE DE LA COMMISSION (UNION AFRICAINE)
PRÉSIDENT DE LA COMMISSION UNION EUROPÉENNE (MANUEL BARROSO)
HARLEM DESIR (PREMIER SECRÉTAIRE DU PARTI SOCIALISTE)
JEAN FRANCOIS COPE (PRESIDENT DE L'UMP)
PIERRE MOSCOVICI (MINISTRE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES)
NAJAT VALLAUD BELKACEM, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS
STÉPHANE LE FOLL (MINISTRE DE L'AGRICULTURE)
WILLIAM HAGUE (FOREIGN OFFICE BRITANNIQUE)
SÉGOLÈNE ROYAL, VICE-PRÉSIDENTE DE LA BPI
PRÉSIDENT DE L'UNION EUROPEENNE
PARLEMENT DE STRASBOURG (DÉPUTES EUROPÉENS)
DÉPUTES FRANÇAIS (PALAIS BOURBON)
SÉNATEURS FRANÇAIS (PALAIS DU LUXEMBOURG)
CONGRES AMÉRICAIN (CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS ET SÉNATEURS AMÉRICAINS)
COMMONS GRANDE BRETAGNE (DÉPUTES ANGLAIS)
BUNDESTAG (German Federal Diet) PARLEMENT ALLEMAND