Côte d’Ivoire : Le président de EDS engage les militants au combat pour la réforme en profondeur de la CEI

A la faveur de la cérémonie d'investiture de la première fédération FPI de la commune de Bingerville, dont il était l'invité special, le président de EDS, le professeur Georges-armand OUEGNIN a fait le déplacement dans le village d'Abata le samedi 2 mars 2019, où une foule nombreuse l'y attendait.

A ses côtés, la vice-présidente du FPI et secrétaire général par intérim, madame Odette SAUYET-LIKIKOUET qui était l'invité d'honneur de la cérémonie d'investiture n'a pas tari d'éloges à son endroit lorsqu'elle fut invitée au pupitre: "ce monsieur il faut l'ovationner parce qu'il a arpenté tous les couloirs de la diplomatie internationale pour mener le combat de la libération du président Laurent GBAGBO et aujourd'hui les choses se concrétisent avec l'acquittement et la libération de ce dernier... Il a toujours profondément cru à la libération du président Laurent GBAGBO..."

Prenant la parole à la suite de sa soeur madame la ministre Odette SAUYET-LIKIKOUET, le président de EDS a d'entrée de jeu salué chaleureusement les camarades membres du premier bureau fédéral de Bingerville avant de les encourager à s'inspirer de l'oeuvre politique du président Laurent GBAGBO pour mener à bien leur mission qui est assez noble d'ailleurs "le FPI présidé par le président Laurent GBAGBO est un grand parti qui merite respect et admiration; le FPI est la colonne vertébrale de EDS et vous les militants vous êtes ceux là même qui rendez tous les combats possible de par votre engagement et votre courage à toute épreuve...EDS est en train d'atteindre petit à petit tous ses objectifs avec la libération de certains prisonniers et le retour de quelques exilés mais nous exigeons haut et fort la libération des prisonniers politiques militaires qui n'ont fait qu'accomplir leur devoir Républicain.

Oui libérez les pour qu'ils viennent se reposer pour accueillir avec nous le président Laurent GBAGBO qui sera très bientôt parmi nous.

Et à cet instant de mon propos je souhaite qu' on se lève tous pour dédier une minute d'applaudissements en mémoire du président SANGARE qui croyait dur comme fer au retour du président Laurent GBAGBO sur la terre de ses ancêtres et qui hélas n'a pas eu la chance de voir ne serait ce que son acquittement...mais le combat, nous le poursuivrons avec dignité et honneur.

C'est pourquoi je vous demande de rester mobilisés pour le combat de la réforme en profondeur de la CEI que nous allons arracher; nous exigeons une concertation souveraine et inclusive qui réunirait toutes les forces vives de la nation pour trouver un consensus sur la question électorale; nous ne voulons plus de crise post électorale, nous ne voulons plus de guerre en Côte d'Ivoire et c'est ce pourquoi nous nous battrons jusqu'à ce que des conditions d'élections justes, transparentes et crédibles soient définitivement une réalité dans notre pays; ils se vantent d'avoir une CEI de bonne facture qui a bien organisé les précédentes élections...

Est-ce de l'humour noir? c'est très grave en tout cas quand on sait que ces élections ont entraîné une dizaine de perte en vue humaine sur l'ensemble du territoire national en plus d'importants dégâts matériels !

En 2020 avec une CEI qui sera profondément réformée, le vaillant peuple ivoirien réconcilié ira dans la paix et la joie reconquérir le pouvoir d'Etat pour le rendre au Président Laurent GBAGBO!

Aujourd'hui l'école Ivoirienne est paralysée et on oppose la violence tant verbale que physique aux enseignants en grève...je considère que ce n'est pas comme ça que le spectre de l'année blanche s'éloignera de nous; ici encore le "asseyons nous et discutons "cher à notre référent politique le président Laurent GBAGBO s'impose afin de trouver un terrain d'entente et ainsi sauver l'année académique..."

Le professeur Georges-Armand OUEGNIN était accompagné de la vice-présidente Désirée DOUATI, du secrétaire général du comité opérationnel, M'PONON Étienne, des secrétaires opérationnels GAOUSSOU YAHIRI Paul, KOFFI YAVO Claude, et du chef de cabinet ANANGAMAN Olivier.

Source: Sercom EDS