Côte d'Ivoire: Le Roi Saye 1er, brille plus que jamais

Par IvoireBusiness/ Débats et Opinions - Le Roi Saye 1er, brille plus que jamais.

Ci-devant en véritable commandant en chef.

Après un exile au Ghana,au cours duquel il s'est bonifié davantage en management royal auprès des rois ashanti,qui l'avaient accueilli dignement, le dynamique roi des Koulango du gontougo, Sa Majesté Saye 1er est à nouveau la barre.

C'est à croire que DIEU l'avait envoyé en formation,prétextant de l'exile involontaire.

C'est ici l’accomplissement de la parole selon laquelle Dieu écrit droit avec des lignes courbes.

Comme Joseph que des malveillants ("détruyants" selon l'expression vieux de Ménékré) avaient jeté dans la fosse et qui s'est retrouvé premier ministre en Egypte, le Roi Saye 1er, brille plus que jamais, à la grande joie de son peuple. Pour rappel,le jour de son retour, dont nous avons assuré la couverture, de mémoire de citoyen de ce pays, la population du zanzan en général et les Koulango en particulier, n'ont jamais réservé autant de bain de foule, à la limite de l’hystérie, à un Chef d'Etat, encore moins à une autorité ministériel quelle qu'elle soit.

Des politiciens s'étaient amusés à faire de son retour une récupération politique.

Malheur pour eux. Le Roi Saye 1er est désormais au dessus de tous les partis politiques, conformément à la volonté populaire des populations Koulango.

Ici, son peuple qui l'adule tant, à travers la chantre de l’Éternel Dieu, Grace Lucie, lui témoignage l'affection de tout un peuple à son Roi.

Qu'il soit membre de la chambre des rois ou pas, l'essentiel, c'est que son peuple l'aime. C'est ce qui compte. Le reste, c'est de la pacotille.

"Ben'to" est un vocableBrong, synonyme du proverbe Koulango "Bassoukéi", qui signifie: la prestance, le charisme, le leadership ne s’achètent pas.

Bienvenue à Sa Majesté Dagbolo Saye 1er, Roi du peuple Koulango. Nous t’aimons, et t'aimerons toujours.

Que ceux qui ont des oreilles et le discernement décodent la le signal que le peuple Koulango véhicule à la Côte d'Ivoire.

Si la Chambre Nationale des Rois et Chefs traditionnels avait la vocation d'incarner toutes les sensibilités ethniques, elle inviterait le Roi des Koulango de la vaste région du Gontougo en son sein.

N'est-il pas temps pour la Cambre des Rois et Chefs traditionnels de comprendre qu'il est nécessaire de s'affranchir des par partis politiques comme l'a réussi le Roi des Koulango ?

Le comprendre, permettrait à ce corpus social de jouer le rôle fédérateur de la Côte d'Ivoire, que les politiques ont échoué à rassembler.

Cela veut dire que toutes discriminations doivent cesser ici et maintenant au niveau de cette chambre constitutionnalisée.

C'est la seule condition pour que cet outil ne se désagrège pas au moindre changement dans le fauteuil présidentiel au sommet de la République.

Le malheur de cette chambre ou sa perte de toute crédibilité serait pour ces gestionnaires d'en faire une appendice d'un parti politique.

Une contribution Dapa Doncien.

dapadonacien@yahoo.fr