JMTV+/LITTÉRATURE/ Dr BOGA SAKO DÉDICACE à PARIS...: "CONDAMNER GBAGBO SERAIT CONDAMNER LA COTE D'IVOIRE..." (Vol 1 et 2)

Par JMTV+/LITTÉRATURE/ Dr BOGA SAKO DÉDICACE à PARIS..."CONDAMNER GBAGBO SERAIT CONDAMNER LA COTE D'IVOIRE..." (Vol 1 et 2).

Jacky Moiffo
Ajoutée le 8 nov. 2017
Dimanche 5 novembre dernier, le 177 rue de charronne dans le 11ème arrondissement de Paris a été le théâtre d'une dédicace pas tout à fait comme les autres.
Cet événement a été organisé par les patriotes à la tête de laquelle Ephrem Kobri Boda, aguerrit à la chose, un homme dont le l'exceptionnel sans n'est pas rouge, mais plutôt orange, blanc,vert.
La salle qui ne pouvait accueillir que 40 personnes s'est, très vite débordée, les ivoiriens étant, comme dit la chanson de quelqu'un dont l'histoire ressemble à la leur, Charles Aznavour pour ne pas le citer,"...ils sont venus ils sont tous là, même ceux du sud de l'Italie..."; oui d'Italie il est venu, Dr Gervais Boga Sako, ceci pour présenter à ce public son dernier livre intitulé: "Mon Combat pour les Droits et Libertés", son cinquième ouvrage depuis le début de la crise ivoirienne qui dure voici une dizaine d'année.
L'ancien enseignant d'Université dans son pays dit avoir écrit ce nouveau bouquin pour, outre la situation critique de son pays, raconter sa propre expérience. Un épisode est marquant dans son propos à savoir le refus de l'ONUCI de lui sauver la vie dans son pays, alors qu'il était en grand danger, ce qui laisse pantois et donne à se poser des questions sur le rôles réel des organes de cette ONU dans les conflits qui, bizarrement, semble avoir, de manière définitive, élus domicile en Afrique et en Asie.
Dans cette Première partie, l'auteur interpelle les consciences sur les importances des diplômes glanés ça et là et estime que ses compatriotes devraient mettre les connaissances, que leur procurent ces diplômes-là, au service de leur nation commune.
La suite en vidéo.
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Dans cette seconde partie, le président fondateur de la FIDHOP ne cache pas ses hostilités vis à vis d'Emmanuel Macron, coupable d'avoir critiqué "ses" mamans qui font huit enfants en Afrique.
Dans son viseur également le régime actuel d'Abidjan dont le chef mourra dans les têtes des ivoiriens après son départ du pouvoir.
En outre, Dr Boga Sako met en garde les institutions judiciaires internationales, notamment la CPI (cour pénale internationale) sur le cas de Laurent Gbagbo; pour lui, la Cote d'Ivoire dépend désormais du sort de l'ancien chef d'Etat ivoirien et,"...condamner Gbagbo serait condamner la Cote d'Ivoire à une guerre de plusieurs années".
Selon lui toujours, la libération de Laurent Gbagbo apaiserait son pays car celui-ci est le seul à même d'apporter une certaine de sérénité au sein des foyers ivoiriens et est, comme à son habitude, un homme de consensus et de tolérance.
Au moment où, depuis quelques semaines, un média français décortique le complot tissé par la France pour renverser celui qui est appelé par les siens "le père de la démocratie", l'Afrique, comme le monde, scrutent la Haye et se posent sans doute cette question-ci: "A quand la fin de la mascarade et de la honte"?
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