Valérie Trierweiler : "Il n'est pire poison mortel que l'indifférence"

Par Closer - Selon Valérie Trierweiler, "il n'est pire poison mortel que l'indifférence".

Elle est sortie de son silence. C’est à travers la chronique littéraire de Valérie Trierweiler dans Paris Match que nous retrouvons sa voix, ses mots. Depuis la "Love affair" entre François Hollande, son compagnon, et Julie Gayet, la première Dame n’a pas donné de nouvelle. Nous avons appris par l’une de ses biographes Nadia Le brun (La dame de Pique) que les "murs ont tremblé", jeudi soir dernier, lorsque le président de la République a avoué à la journaliste sa liaison.
Profondément meurtrie par cette haute trahison, Valérie Trierweiler est effondrée et se repose actuellement à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, selon nos confrères du Parisien. Établissement dont elle devait sortir lundi dernier, mais ses médecins ont préféré la garder en observation quelques jours de plus. De sa chambre d’hôpital, si elle a regardé la télévision, elle a entendu les mots de François Hollande, hier, lors de sa conférence de presse. Il a déclaré que "les affaires privées se réglaient en privé" et qu’il clarifierait sa relation avec Valérie avant son voyage officiel aux Etats-Unis. Une rupture n’est donc pas à exclure. Coup dur encore.
Discrète dans l’adversité, c’est à travers sa chronique littéraire dans le magazine Paris Match donc que nous la retrouvons cette semaine. Une chronique sur l’ouvrage d’Andrei Makine, Le pays du lieutenant Schreiber, qui débute par cette phrase "Il n’est pire poison mortel que l’indifférence". Comment ne pas voir en cette citation un écho à sa vie privée ? Mais de quoi parle-t-elle exactement ? Valérie Trierweiler joue, semble-t-il, pour l’instant, la carte de l’indifférence. Indifférente face aux rumeurs ? Indifférente face à son couple qui explose ? Ou parle-t-elle de l’indifférence de François Hollande qui ne l’a, semble-t-il, pas visitée les trois premiers jours de son hospitalisation… Le mystère reste entier.

Par Magali Vogel