Côte d'Ivoire: Voici le Conseiller de Guillaume Soro qui a appelé au meurtre du jeune Johnny Patcheco

Par IVOIREBUSINESS - Voici le Conseiller de Guillaume Soro qui a appelé au meurtre du jeune Johnny Patcheco. Le silence assourdissant de Guillaume Soro.

Par IVOIREBUSINESS - Le 23 avril dernier, votre site favori faisait écho d'une information effrayante selon laquelle un extrémiste du régime Ouattara, de surcroit conseiller de Guillaume Soro président de l'Assemblée nationale, appelait au meurtre d'un jeune ivoirien dont le crime était de dénoncer la dictature, la haine, le rattrapage ethnique, la xénophobie, les crimes et meurtres du régime Ouattara.
Ce Conseiller de Soro dont voici l'image, s'appelle Mamadou Traoré.
C'est lui qui lancé une Fatwa contre le jeune Johnny Patcheco dont la seule arme est la parole, et dont le seul crime est de dénoncer les travers du régime Ouattara.
Comme on le voit il est interdit de critiquer le régime Ouattara. Les contrevenants sont passibles de la peine de mort. Une FATWA en règle leur est lancée.
Et les officiels du régime sont en première ligne pour appeler au meurtre des opposants au régime.
A cause de cette fatwa lancée contre lui, le jeune Johnny Patcheco, qui exprime tout haut ce que la majorité des ivoiriens pense tout bas, est aujourd'hui en danger de mort immédiat.
Car Mamadou Traoré estime qu'il faut laver cette grave offense qui est de critiquer Ouattara, dans le sang.
Le silence de Guillaume Soro président de l'Assemblée nationale, après la sortie de route de son Conseiller, est assourdissant.
Car qui ne dit rien consent.

Comment comprendre le silence du deuxième personnage de l'Etat alors que son plus proche conseiller appelle ouvertement au meurtre d'un ivoirien sur sa page facebook?
Mamadou Traoré appelle également tous les jeunes Dioula vivant en Europe à laver par la violence, le pseudo affront fait à Alassane Dramane Ouattara.

Ce conseiller véreux doit en principe être immédiatement être démis de ses fonctions.
C'est vraiment le minimum. Même dans une République bananière où dans une dictature.
Nous y reviendrons.

Eric Lassale