Ambassade de Côte d’Ivoire à Paris - Rebondissement "Affaire Bertrand GOLI": Le droit de réponse de l'Ambassade "Du faux, rien que du faux"

Par Correspondance particulière - Rebondissement "Affaire Bertrand GOLI". La riposte de l'Ambassade.

La preuve en 7 points
Comme tous les internautes, nous avons lu l’article publié par Ivoirebusiness, relatif à l’affaire Bertrand GOLI. Mais contrairement à tous les lecteurs, nous savons que le journaliste Philippe Kouhon n’est pas responsable de cette cabale. Il prend soin de parler au conditionnel quand il écrit ceci : « M. Bertrand GOLI serait accusé de détournement... ». C’est ce bout de phrase qui nous a interpelés et qui nous a poussés à mener nos propres investigations, nous, le collectif des agents de l’Ambassade qui refusent d’être instrumentalisés par certaines personnes qui ont des comptes personnels à régler avec M. GOLI. Ces mêmes personnes ont cru pouvoir utiliser l’appareil d’Etat pour régler leurs comptes personnels en suscitant des inspections à répétition à travers des lettres anonymes.
Qui sont ces personnes ?
Quelles sont leurs motivations ?
Leurs allégations sont-elles fondées ?
Comment rétablir la vérité ?
C’est pour répondre à ces interrogations que nous avons pris le temps de faire des recherches, pour parvenir aux conclusions ci-dessous en 7 points, que Ivoirebusiness acceptera de publier, nous l’espérons.

1-Ivoirebusiness et son journaliste Philippe Kouhon ne sont pas du tout en cause dans cette affaire. Une correspondance (comme la notre) leur a été transmise, et nous savons que le journaliste n’a fait qu’une mise en forme du texte. D’où la mention : « par correspondance particulière ». Qui sont donc les vrais détracteurs que nous avons dénichés ? Il s’agit d’une femme et d’un homme, deux personnes qui ne s’entendent pas du tout avec les Payeurs de façon général. La femme, qui n’était que secrétaire de direction, est arrivée dans cette Ambassade en 1997 pour occuper les fonctions de caissière. Mais, par on ne sait quel alchimie, elle devenue Administrateur des Services Financiers à la surprise générale. Et comme c’est le grade requit pour être nommé Payeur à Paris, elle aurait tout essayé pour occuper ce poste. Quand à l’homme, il dit à qui veut l’entendre qu’il est le ‘‘neveu’’ du Président de la république. Du haut de son BTS en tourisme, ce vantard dont l’activité principale consistait a accompagné les jeunes filles dans les restaurants, imaginait qu’il serait nommé ministre du tourisme parce que le PR l’appel par son prénom. Ces deux aigris qui n’ont pas réalisé leur rêve d’être nommés, ont cru pouvoir conjuguer leurs efforts pour rattraper leur manque à gagner par des voies détournées. Or, nous savons tous que le Payeur n’est pas du genre à cautionner les voies détournées. Il a préféré donner de l’argent de sa poche à un collègue, plutôt que de lui accorder un prêt sur la caisse, parce que d’après lui, l’Etat n’a pas vocation à faire des prêts. Mais pourquoi nos deux aigris sont-ils aussi remontés contre le Payeur ?
Le bruit court dans l’ambassade que Monsieur le Payeur a osé réserver une fin de non recevoir aux avances de cette femme. Pendant plus de 3ans, il n’aurait pas cédé malgré toutes les promesses qu’elle lui a faites. A la question de savoir pourquoi le Payeur est resté ci-intransigeant sur sa position, les personnes qui ont suivi cette affaire depuis le début nous ont confié qu’en réalité, la dame voulait utiliser cette relation sous l’angle de « mettons nous ensemble pour tirer profit de notre gestion ». Par son refus de coopérer, Monsieur Payeur aurait, sans le vouloir, créer une énorme frustration chez cette dame qui a juré de lui faire payer sa témérité.
2-L’objectif était donc d’écarter M. GOLI qui, par sa connaissance de la gestion financière, empêchait l’introduction de faux dossiers dans le circuit des dépenses. C’est le lieu de rappeler que M. GOLI a dispensé des cours à l’ENA pendant 8 ans, et les agents du Trésor public, formés au cycle des inspecteurs du Trésor (promotions 2002 à 2009) ne tarissent pas d’éloges pour venter les qualités pédagogiques de cet homme qui dérange à Paris. Comment ces détracteurs ont-ils opéré ?
3-L’instrumentalisation du personnel local comme facteur de nuisance. On nous a toujours fait croire que l’Etat envoyait beaucoup d’argent à Paris et que le Payeur refusait de décaisser. Mais nous avons découvert par la suite, que ses détracteurs confondaient « Budget et Trésorerie ». Chaque fois que l’Ambassade recevait des notifications ou des rallonges budgétaires, on nous faisait croire que l’argent était arrivé. Le mot d’ordre était : « aidez-moi à faire partir le Payeur pour que je vous arrange ».
Ainsi, lors des missions d’inspecteurs à Paris, plusieurs parmi nous ont été conditionnés pour dépeindre M. GOLI comme un homme méchant qui refuse de payer les salaires avant la fin du mois. Vérification faite, nous apprenons que les transferts au titre des salaires n’arrivaient à Paris et dans les autres Ambassades, qu’après la fin du mois. Il n’était donc pas possible de payer les salaires avant la fin du mois.
4-Qu’en est-il de la ponction mensuelle de 300 000 euros sur la bourse des étudiants ? La première chose à noter, c’est qu’à Paris, c’est Régisseur (M. ADOU) qui est chargé de payer les bourses. Comme les transferts au titre des bourses ne sont pas réguliers, le Régisseur paye les bourses trimestriellement, pour montant cumulé d’environ 396000 euros. Ces informations sont disponibles à l’Ambassade, et sont vérifiables auprès des structures chargées des transferts à Abidjan. M. GOLI n’a donc jamais prélevé le moindre centime sur la bourse des étudiants. Mais pour salir l’image de cet homme qui dérange, on nous a servi ce mensonge grotesque de détournement de fonds. Il n’en n’est rien, et toutes les missions d’inspections diligentées à Paris ont pu le vérifier.
5-En ce qui concerne le dossier des primes de SNEDAI, on a voulu nous instrumentalisés là encore. Ceux qui sont chargés d’engager les dépenses n’ont pas fait les mandatements. Or en l’absence de mandatement (Ordre de Paiement), le Payeur ne peut pas décaisser. Mais pour masquer leurs défaillances dans le traitement des dossiers, on nous fait croire que c’est le Payeur qui ne veut pas payer.
6-Ce mensonge orchestré frise le ridicule lorsqu’on veut nous faire croire que M. GOLI est neveu du Ministre Diby. En réalité, ces deux personnes ne s’étaient jamais rencontrés jusqu’en 2001.
Lorsque Charles Diby est nommé DG du Trésor en 2001, il crée un service chargé de la coordination statistique. Il donne carte blanche au Chef de ce service pour choisir ses collaborateurs. M. GOLI fait partie de cette équipe. C’est ainsi qu’il rencontre Charles Diby pour la première fois en 2001. Lorsqu’en novembre 2009, M. GOLI est nommé Payeur à Paris, Charles D n’est plus DG du Trésor depuis plus de 4 ans. Mieux, les personnes qui connaissent sa famille nous ont confié que M. GOLI n’a jamais eu d’oncle, tant maternel que paternel. On nous a donc servi un mensonge en voulant établir un lien de parenté entre le Payeur et le Ministre Diby. Il est bon de savoir que les deux hommes ne sont ni de la même région, ni du même village. Cependant, M. GOLI aurait déclaré qu’il serait honoré, si une personnalité aussi illustre que le Ministre Diby pouvait accepter de lui communiquer, ne serait-ce que son numéro de téléphone.
7-Ayant échoués dans leur tentative d’utiliser l’appareil d’Etat pour atteindre leur objectif de nuisance, les détracteurs ont choisit l’intox comme dernier kata, en racontant chaque semaine, que M. GOLI a été arrêté, tantôt à Abidjan, tantôt à Paris. Il n’en n’est rien et cela devrait suffire pour que chacun comprenne la portée du mensonge qu’on nous a tous servi.

Le collectif du personnel local qui
refusent d’être instrumentalisé pour
cautionner un grossier mensonge

ARTICLES DE PHILIPPE KOUHON SUR LE TRESORIER PAYEUR BERTRAND GOLI

Alerte - Ambassade de Côte d’Ivoire à Paris: Bye Bye, M. Bertrand Goli !

Le 25/12/2013 - 18:09

Par Correspondance particulière - Bertrand Goli rappelé d'urgence à Abidjan.

Le week end dernier a été, un moment pas comme les autres pour M. Bertrand Goli, le sinistre trésorier payeur à l’ambassade de Côte d’Ivoire au 102, rue Raymond Poincaré dans le 16e arrondissement à Paris. Pour cause, celui-ci a dû passer plus de trois jours à faire son bilan mais aussi à faire ses valises. Plusieurs fois épinglé par l’inspection des comptes publics venue d’Abidjan pour malversation financière, M. Bertrand Goli bénéficiait encore du soutien et de la protection de ses mentors, Charles Koffi Diby (ministre ivoirien des Affaires étrangères) et Charles Gomis Providence (ambassadeur de Côte d’Ivoire en France). Finalement, les plaintes à répétition des agents mécontents (non paiement des salaires, licenciements abusifs…) finiront par faire fléchir celui qu’on a vite surnommé, l’intouchable de l’ambassade. Selon des témoins sur place, les vendredi, samedi et dimanche dernier, celui-ci a été contraint d’organiser une cérémonie « sobre » de passation de charge entre lui et son remplaçant, M. Diabagaté Mory Sindou, qui devient ainsi le nouveau trésorier payeur à l’ambassade de Côte d’Ivoire à Paris.
Les faits :
M. Goli Bertrand qui travaillait comme trésorier payeur depuis le temps de l’ambassadeur Pierre Kipré serait accusé de détournement de plus de 2 milliards de Fcfa, dont une partie aurait été ponctionnée sur la bourse des étudiants à raison de 300 000 euros par mois ; Des ordres de paiement (OP) et des chèques pré signés dont la traçabilité a été retrouvée sur son compte bancaire, mais aussi le non paiement des salaires versés par la société Snedai chargée d’établir les passeports biométriques depuis Paris et qui employait des agents recrutés pour normalement le compte de l’ambassade.
Enfin, il faut noter que pour la première fois dans l’histoire des chancelleries ivoiriennes à l’étranger, participaient à cette passation de charge, la trésorerie générale pour l’étranger (TGE) et la Cour des comptes venues toutes, de la Côte d’Ivoire.
Un départ donc qui risque de faire des vagues car on le sait, si M. Goli Bertrand a agi ainsi, c’est bien parce qu’il bénéficiait de la complicité des deux autorités citées plus haut.
Et dire que l’ambassadeur Charles Gomis et le Ministre Charles Diby ne seront pas entendus dans cette affaire dont le prolongement et l’issue auprès de la justice en Côte d’Ivoire devrait réconforter ces milliers de pères de familles grugés depuis Paris, cela participerait de la promotion de l’impunité tant décrier par le président Alassane Ouattara à un an des élections présidentielles en Côte d’Ivoire.
Dans nos prochaines publications nous démontrerons comment S.E.M Charles Providence Gomis, sénégalais d’origine a pu s’infiltrer dans le système politico-diplomatique ivoirien ? Comment a –t-il été nommé ambassadeur à Paris ? Que pensent les militants du RDR de Paris de leur ambassadeur ? Qui sont les membres de son personnel domestique ? L’affaire du boulevard Suchet, la Mercédès de Aly Coulibaly et la Citröen DS5, son salaire et ses missions secrètes à Paris ect….Affaire à suivre !

Philippe Kouhon
Diaspo tv
Mail : pkouhon@gmail.com
Tél : 0647736264

Exclusif/ Ambassade de Côte d’Ivoire à Paris : Goli Bertrand l’intouchable ? Les dessous d’une gestion mafieuse
Le 03/12/2013 - 13:18

Par Correspondance particulière - Goli Bertrand l’intouchable de l'Ambassade de Côte d’Ivoire à Paris. Les dessous d’une gestion mafieuse.

Le 102 Rue Raymond Poincaré dans le 16e arrondissement de Paris (Ambassade de Côte d’ivoire) qui donne l’allure d’une certaine sérénité depuis l’arrivée en octobre 2012 du nouvel ambassadeur Charles Providence GOMIS cacherait bien de secrets.
Et personne ne l’aurait su si les récentes grognes du personnel n’avaient pas atteint le plus haut sommet de l’Etat de Côte d’Ivoire. Mais là encore, on refuse de rendre public les dossiers gênant comme pour cacher une gestion calamiteuse de l’argent du contribuable ivoirien ou encore protéger certains proches qui s’adonnent à de la pure gabegie dans l’administration de la chancellerie ivoirienne en France. De quoi s’agit-il ?
Depuis le mois de Août 2013, plusieurs agents de l’ambassade sont en colère contre leur supérieur hiérarchique. Ce qu’on a vite appelé une simple humeur du personnel qui réclamerait quelques Euros de plus comme prime pour célébrer les festivités de l’indépendance de la Côte d’Ivoire (7 Août) est loin d’une humeur placide. C’est bien la résultante de plusieurs mois voire années de galère subis par ces travailleurs qui pour la plupart sont recrutés depuis le territoire français et qui contrairement à tous les immigrés travaillant en France ne peuvent pas produire une lettre de licenciement ou encore une attestation de travail afin de faire valoir leur droit au chômage. Mais comment en est-on arrivé à là ?
Lorsque l’état de Côte d’Ivoire, sous le régime de Laurent Gbagbo lance l’opération du passeport biométrique, la société Snedai qui s’est positionné comme un véritable partenaire de l’Etat Ivoirien pour la modernisation et la sécurisation de tous systèmes d’identification et de documents administratifs va bluffer ce dernier par des offres du moins flatteuses: 120 passeports par heure ; 100 000 passeports biométriques annuels ; 80 000 visas biométriques annuels….Des locaux vont être réquisitionnés à Abidjan pour le service. Et alors qu’elle (Snedai) a vu le jour seulement que le 26 octobre 2007, elle signera son tout premier contrat avec l’Etat ivoirien le 10 décembre 2007, après donc moins de 2 mois d’existence. En réalité SNEDAI Côte d’Ivoire n’est rien d’autre qu’une filiale écran de l’entreprise française, ZETES INDUSTRIES spécialisée dans la technologie vocale, imagerie numérique, code-barres, Biométrie et les cartes à puces. Une société dans laquelle l’argentier de la rébellion de Soro Guillaume, Adama Bictogo avait des entrées. On comprendra que le président ivoirien Laurent Gbagbo qui sortait fraichement des Accords de Ouaga avec un Guillaume Soro Premier Ministre ait pu céder naïvement la concession des documents administratifs ivoiriens à cette société fabriquée de toute pièce.
Et si en Côte d’Ivoire le coût du passeport biométrique (40 000 f Cfa) dépasse le Smig ivoirien (30 000 Fcfa), en France, il faudra débourser d’abord 10 euros pour un simple rendez-vous puis 100 euros pour la confection du passeport. Le tout devant passer par un système trop compliqué (inscription enligne, déplacement à l’ambassade pour le dépôt des pièces à fournir …) et enfin repasser 3 mois après pour avoir le document de voyage, là où Snedai annonce le retrait du document sous 15 jours officiellement après validation par la police de l’Air et des frontières en Côte d’ivoire (S/DPAF).
Pourquoi cette lourdeur et comment Snedai y palie ?
Crée pour être opérationnel suite à ce premier contrat très juteux (72 milliards de Fcfa), SNEDAI n’a pas voulu faire trop de dépenses après ses bureaux en Afrique. A Paris, la société privée et qui est bien en contrat avec l’Etat de Côte d’Ivoire va réquisitionner purement et simplement quelques bureaux au sein de l’ambassade de Côte d’ivoire à Paris. Pour le personnel pas besoin de créer davantage d’emplois. Plusieurs agents de l’ambassade seront mis à contribution alors qu’ils sont censés travailler pour le compte exclusif de la chancellerie avec laquelle ils sont sous contrat. Ce sont bien ces derniers qui viennent de grogner car n’ayant toujours pas reçu cet autre perdième que SNEDAI devait verser à l’ambassade. Pis, face à cette colère, l’ambassadeur d’alors, Aly Coulibaly, puis celui de maintenant, Charles Gomis vont procéder à des licenciements abusifs des mecontents.
Mais si dans une administration publique comme l’Ambassade, le Chef hiérarchique reste SEM l’ambassadeur, au 102 rue Raymond Poincaré, un autre homme apparait comme le moteur de tout ce désaccord entre l’ambassadeur et le reste du personnel. Cet homme se nomme, Bertrand Goli. Le trésorier payeur. M. Goli est le Neveu du Ministre Charles Koffi Diby ancien ministre des finances et de l’économie et actuellement Ministre des Affaires Etrangères. C’est ce dernier qui l’aurait propulsé dans les chaussures des ambassadeurs successifs à Paris. Et ce depuis Pierre Kipré.
Concernant le licenciement des 18 agents mais qui en réalité étaient réquisitionnés par l’ambassadeur non pas pour travailler pour l’ambassade pour laquelle ils avaient droit à un salaire budgétisé, mais pour assurer le service minimum de délivrance des passeports biométriques, alors que SNEDAI selon nos sources s’acquitte bel et bien de sa part vis-à-vis de son nouveau partenaire (Ambassade), le trésorier payeur en complicité avec l’ambassadeur Charles Gomis refuse de payer à son tour les agents.

Goli Bertrand l’intouchable
Selon des informations en notre possession, le budget annuel de fonctionnement de l’ambassade de Côte d’Ivoire à Paris s’élève à 6 (six) milliards de Fcfa. Ses dépenses pour cette année 2013 s’élèvent à 2,7 milliards de Fcfa. Aussi selon le rapport d’un récent audit encore tenu au secret des inspecteurs venus d’Abidjan, le trésorier payeur aurait creusé un gros trou dans la caisse de la chancellerie et ce depuis l’ère Pierre Kipré. En effet, au summum du cinquantenaire de 2010 dont l’organisation était confiée à l’ambassadeur Pierre Kipré depuis Paris, celui-ci pris par cette autre activité républicaine aurait pré signé plusieurs chèques pour les salaires du personnel et autres dépenses de l’ambassade vu qu’il devait s’absenter par plusieurs fois. Eh bien, le sieur Goli Betrand qui a aussi signature sur les chèques de la chancellerie aurait, après la signature de certains contrats qui engageaient l’ambassade, émis directement ces dits chèques sur son compte bancaire personnel. Il aurait selon toujours plusieurs sources fait du faux en écritures. On parle de détournement de plusieurs ordres de virement avec la complicité du trésor public d’Abidjan. Ainsi près de 300 000 Euros auraient été ponctués sur les bourses des étudiants ivoiriens de France. Mieux c’est la bagatelle somme de 7,7 milliards de fcfa qui aurait été payée à la société immobilière de la première dame Dominique Ouattara (AICI) pour la réhabilitation de la résidence de l’ambassadeur avec l’arrivée de Aly Coulibaly après le départ de Pierre Kipré du 10 rue Lotta dans le 16e arrondissement..
Et malgré plusieurs plaintes au prudhomme, Goli Bertrand qui avait été convoqué par l’inspection générale en accord avec la police économique à Abidjan, ne semble pas être concerné. C‘est donc en toute impunité qu’il continuerait de gruger ces nombreux pères de familles qui n’auront pas droit aux avantages sociaux pourtant mis en place par l’Etat français.
Dans nos prochaines publications nous reviendrons sur ce dossier plus largement et surtout sur les micmacs de l’ambassadeur Charles Gomis. Un homme très controversé. Enfin nous nous intéresserons très en profondeur aux locaux du pole économique sis au 24 boulevard Suchet. Qui veut y faire des travaux et à quels prix ?

Philippe Kouhon/ Journaliste d’investigation