Affaire DJ Arafat tueur de taximètre: le DJ veut porter plainte contre Guillaume Verges

Par IvoireBusiness - Affaire DJ Arafat tueur de taximètre. Le DJ veut porter plainte contre Guillaume Verges.

DJ Arafat.

DJ Arafat n’est pas content du tout. Actuellement au Cameroun pour une série de spectacles, DJ Arafat a posté une vidéo dans laquelle il dénonce l’attitude malsaine de notre confrère Guillaume Verges.

L’hebdomadaire Select Magazine qui avait traité la nouvelle Miss Côte d’Ivoire, Yéo Jennifer, d’appartenir à la franc-maçonnerie est de nouveau sur la sellette.
Dans sa dernière sortie, le magazine titre à sa Une: « DJ Arafat, tueur du chauffeur de taxi ».
Consternée, par cette Une qui porte atteinte à son image, Ange Didier dit DJ Arafat, décide de ne pas laisser cette affaire une fois de plus salir son image. Ainsi, l’artiste a publié une vidéo sur sa page officielle facebook pour dénoncer les mensonges du patron de Select Magazine.
« Dans cet article, c’est marqué « DJ Arafat tueur du chauffeur de taxi ». J’aimerais te dire Guillaume Verges, tu ne pourras pas salir mon image. Je me suis faite mon image tout seul. J’ai le soutien de mes fanatiques. Très chères fanatiques, n’achetez même pas ce journal. Si j’avais vraiment tué quelqu’un ne crois pas j’allais franchir l’aéroport de Côte d’Ivoire pour venir faire un concert au Cameroun », a affirmé le cœur meurtri le DJ.
Il a toutefois souligné qu’il n’est pas au-dessus de la loi. « Si j’avais tué des gens, je ne crois pas que j’allais aller m’assoir dans des bars ou dans des maquis pour aller m’amuser. Je ne suis pas au-dessus de la loi. Si j’ai tué je vais aller en prison. Il n’y a pas de mort. Il n’y a jamais eu de mort dans cet accident. »
Arafat n’a pas hésité à aviser le journaliste des poursuites judiciaires qui seront à son encontre si ce dernier publie cet article. « Donc Guillaume Verges, tu publies ça demain, je vais prendre mon avocat et on va te poursuivre encore. On va te faire enfermer et cette fois-ci tu vas me dédommager. Tant que tu n’envoies as les corps des gens qui sont morts là, tu ne sortiras pas de la MACA (maison d’arrêt et de correction d’Abidjan, ndlr). »
Nous avons essayé de voir un peu plus clair dans cette affaire. Lorsque nous regardons bien, le titre n’est pas une affirmation. C’est vrai qu’il est écrit « DJ Arafat, tueur du chauffeur de taxi ». Mais cette phrase n’est pas une phrase affirmative. Vous remarquez qu’il y a un point d’interrogation à la fin. Cela signifie que le journaliste s’interroge. Pour reformuler, on dira : « DJ Arafat est-il le tueur du chauffeur de taxi ? ». Puisqu’elle n’affirme pas que le DJ a « tué le chauffeur de taxi », aucune poursuite judiciaire ne peut être dirigée contre le magazine Select. Un autre élément attire notre attention. C’est le sous-titre qui est : « L’enquête de Select Magazine ». La rédaction de ce magazine, à travers ce sous-titre, oriente les lecteurs qui veulent savoir la réponse de cette interrogation à lire le contenu du journal : simple stratégie de marketing…

Source: Autre presse